1.Nous avons (cueillir)
………………………………………….des fleurs dans le
jardin
2. Les garçons sont (revenir)
………………………………………….de l'école avec une punition
3.Voici les fleurs
que nous avons (cueillir) ………………………………………….ce matin chez le voisin
4 Les filles sont (venir)
………………………………………….à l'école pour récupérer leur petit frère
5. Il a (acheter)
………………………………………….des gants en prévision de cet hiver.
6. Les gants qu'il a (acheter)
………………………………………….sont fourrés
7. Quelle voisine
as-tu (voir) ………………………………………….chez le boulanger?
8 Robert et Monique
sont (aller) ………………………………………….ensemble à Montmartre.
9 - Elles ont (lire)
………………………………………….tous les livres qui leur avaient été confiés.
10. Elle s'est (se
laver) …………………………………………. avec de l'eau et le savon.
11. Elle s’est (se
laver) ………………………………………….les mains avec de l'eau et le savon.
2. La pièce que j'ai (vu)………………………………………………jouer était interprétée par
des enfants.
3. Les avions que nous avons (vu)……………………………………………..décoller partaient
pour les Antilles.
4. La carafe que tu as (fait)…………………………………………………tomber est cassée, bien
sûr!
5. Les chiens du voisin étaient seuls, je les ai (entendu)…………………………………………………hurler
toute la nuit.
6. Les élèves que j'ai (envoyé) …………………………………………………….…………………….. chercher
étaient en étude.
7. La source s'écoulait doucement et nous l'avons (écouté) …………….………………………………………..
chanter.
8. Mes enfants, je les ai (regardé) …………………………………………………….. grandir chaque jour avec émotion.
9. Les lettres sont enfin arrivées, je les ai (envoyé) ……………………………………..……………………….
chercher.
10. Les voiliers que nous avons (aperçu) …………………………………………. glisser au
fil de l'eau, avançaient doucement,
11. Il restait là, immobile, la tête penchée, comme une fleur qu'on a (oublié)…………………………………………d'arroser,
12. Cette maison, que j'ai (vu)……………………..……………..construire de jour en
jour est maintenant terminée.
2. Elle a des taches (rouge-sang) ………………………………………………………………..sur
son chemisier.
3. Elle porte de jolis rubans (cerise)
…………………………………………………………dans les cheveux.
4. Les militaires du régiment portent des vestes (kaki)…………………………………………………….
5. Ma sœur a plongé dans ces superbes flots (bleu). ………………………………………………………………
6. Ses cheveux (châtain-foncé) ……………………………………………………………………..ondulent
au gré du vent.
7. J'aime la confiture aux fruits (rouge).
………………………………………………………………………..
8. L'automne arrive avec ses feuilles (fauve).
………………………………………………………………….
9. Les yeux (bleu-vert) de ma
voisine sont superbes. ………………………………………………………….
10. Les vaches de ce pré se ressemblent : elles ont des robes (blanc et noir)…………………………………………….
1. un oiseau-mouche --» des ……………………………………………………………….
2. un avant-poste --» des ……………………………………………………………………………
3. un sous-sol--» des ……………………………………………………………………………
4. un rond-point--» des ……………………………………………………………………………
5. un électro-aimant--» des ……………………………………………………………………………
6. un pince-sans-rire--» des ……………………………………………………………………………
7. un cache-nez--» des ……………………………………………………………………………
8. un gagne-pain--» des ……………………………………………………………………………
9. une arrière-pensée--» des……………………………………………………………………………
10. un aide-comptable--» des ……………………………………………………………………………
11. une eau-de-vie --» des ……………………………………………………………………………
12. un couvre-pied--» des ……………………………………………………………………………
13. un chef-d’œuvre--» des ……………………………………………………………………………
14. une demi-finale--» des ……………………………………………………………………………
15. un cerf-volant--» des ……………………………………………………………………………
16. un rouge-gorge--» des ……………………………………………………………………………
17. un Anglo-saxon--» des ……………………………………………………………………………
18. un va-et-vient--» des ……………………………………………………………………………
Retour de pêche
Dans le petit port, la mer se gonflait au soupir du flot et soulevait une à une les barques échouées. Des femmes assises sur leur panier attendaient les pêcheurs de congres. On apercevait déjà le premier au phare de Rocmer…
La vente commença. Passés de main en main, les congres, grands comme des hommes, étaient jetés sur une large table où ils rebondissaient et glissaient, ranimés une seconde, la gueule fermée parfois sur un hameçon qu’on n’avait pu arracher. Tous portaient au flanc la trace du coup de gaffe qui les avait halés à bord.
Le patron s’échauffait, frappait la table de ses poings et, les jarrets fléchis, faisait de brusques inclinaisons de tête. Les marchandes ne parlaient pas et ne surenchérissaient qu’au moyen de rapides clins d’yeux. Leur vente faite, les bateaux venaient s’accrocher à leurs anneaux en bêtes dociles et les lourdes ancres tombaient.
Jules Renard